Médecins Ukraine

Médecin du département des méthodes de traitement au laser. Ophtalmologue de la plus haute catégorie

Ancienneté : 23 ans

Médecin consultant du département de diagnostic. Ophtalmologiste de la plus haute catégorie

Ancienneté : 44 ans

Ophtalmologiste pédiatrique. Ophtalmologiste de plus haute catégorie

Ancienneté: 27 ans

Ophtalmologiste pédiatrique. Ophtalmologiste de première catégorie

Ancienneté : 17 ans

Ophtalmologiste pédiatrique. Ophtalmologiste

Ancienneté : 4 ans

Médecin consultant au département de diagnostic

Ancienneté : 10 ans

Ophtalmologiste au sein du département de diagnostic

Ancienneté : 7 ans

Médecin au service de diagnostic

Ancienneté : 8 ans

Médecin dans le service de diagnostic

Ancienneté : 4 ans

Médecin dans le Département de Chirurgie Esthétique

Ancienneté : 4 ans

Médecin au Département de Chirurgie Esthétique

Ancienneté : 2 ans

Médecin au service de diagnostic

Ancienneté : 2 ans

Médecin dans les départements de diagnostic et d'esthétique

Ancienneté : 4 ans

Je suis un homme heureux ! Parce que je pratique la dentisterie depuis 30 ans, et je suis toujours passionné par ma profession ! Il y a quelques années, mon plus jeune fils m'a posé la question : "Comment fais-tu pour ne jamais te lasser de soigner des dents toute ta vie ?" Je n'ai pas pu répondre à cette question immédiatement et je me suis demandé, en effet, pourquoi ?

Je n'ai jamais eu à me poser la question du choix de profession. Lorsque mes parents et tous ceux qui m'entouraient étaient dentistes, le choix devenait évident. Donc, quand on m'a demandé où je postulerais, j'ai répondu avec audace : à l'école de médecine en tant que dentiste. À cette époque, il me semblait que l'emploi garanti était le principal avantage d'une dynastie médicale. Maintenant, après avoir travaillé chez Elite Denta depuis 8 ans, participé à des entretiens et lu des CV, je comprends que l'essentiel dans notre profession est l'honnêteté et l'enthousiasme. Mes parents m'ont guidé et m'ont donné l'opportunité d'apprendre auprès des experts de la dentisterie moderne, ce qui a enflammé mon intérêt, voire même ma passion, pour la profession. En assistant à divers cours dès les premiers jours de formation, je comprenais ce vers quoi je devais m'efforcer. Et dans notre cabinet, j'ai vu la mise en pratique des critères internationaux en dentisterie. Travaillant dès ma deuxième année avec le laboratoire dentaire, j'étais fasciné par les étapes assez monotones de la fabrication de prothèses. Un peu plus tard, je discutais avec enthousiasme avec mon instructeur des nuances de la fabrication de restaurations sans métal, rares à l'époque. Grâce au fait que mes mentors étaient les personnes les plus proches de moi, j'ai pu très tôt mettre en pratique les connaissances acquises.

Lorsque j'ai obtenu mon diplôme de fin d'études secondaires, je ne savais pas exactement ce que je voulais devenir. Je n'arrivais pas à me décider sur une profession pendant longtemps, car je luttais avec deux désirs. Depuis l'enfance, je rêvais de devenir chirurgien, cette profession me fascinait. Mais à ce désir se confrontait mon côté créatif - l'amour pour le dessin, la modélisation et d'autres travaux manuels. Et cela me conduisait à penser à une profession plus « féminine » - un designer, par exemple. Mais j'étais convaincu qu'en médecine, il y a une place pour la créativité et la beauté. Et les chirurgiens de toutes spécialités suscitaient en moi admiration et respect.

Je m'appelle Karina Yurievna - et cela me surprend toujours de l'entendre m'appeler une adulte. En tant qu'enfant, je n'avais pas peur des dentistes, car comment pourrais-je avoir peur de ma mère? Je me souviens bien de quand je l’enlaçais le soir après le travail, respirant l’odeur de l’huile d’eugénol, si effrayante pour beaucoup de gens, mais si familière pour moi. Et personne n'allait se faire arracher les dents. Dès qu'une dent commençait à bouger, à la fin du dessin animé suivant, je l'envoyais de mes propres efforts dans le bocal avec ses camarades... Ainsi, lorsque j'ai grandi un peu, je savais que je deviendrais dentiste. C'était simple et évident pour moi.

Je suis née dans une famille d'entrepreneurs, où je n'ai connu la médecine qu'en tant que patiente. Depuis mon enfance, j'ai été attirée par la beauté et tout ce qui y est associé, donc la petite Alena Stolyar voulait être créatrice de mode, artiste, designer, en un mot, quelqu'un qui crée de la beauté.

Lorsque nous avons commencé à étudier la biologie à l'école, j'ai réalisé que c'était ma matière préférée. L'anatomie humaine est devenue ma passion particulière. Quand mes amies achetaient des magazines de mode, j'achetais une encyclopédie d'anatomie, bien que j'achetais aussi des magazines de mode, car mon amour pour la beauté n'avait pas disparu.